Mwen Sé An Fanm, Je Suis une Femme

Ici, je déclame un kàsàlà

« Les mots signifient plus que ce qui est couché sur le papier. Il faut la voix humaine pour leur donner un sens plus profond ».
– MAYA ANGELOU

L’atelier “mwen sé an fanm” “je suis (une femme)”, est une expérience qui vise à permettre (à la femme noire) de reprendre le contrôle de son histoire de vie, à occuper l’espace et à revendiquer sa vérité*.

“Je suis (une femme)”
“mwen sé (an fanm)” est une expérience unique en son genre, à la manière du KASÀLÀ CONTEMPORAIN proposé par Jean Kabuta, qui associe l’écriture à l’oralité.

Cet atelier est fondé sur la guérison, la décolonisation du corps et de l’esprit (de la femme noire) et de la libération de ses rêves.

L’objectif de ‘Mwen sé (an fanm)’ est d’initier une réflexion et conversation sacrée avec les circonstances de la vie, c’est l’opportunité de contacter notre puissance (féminine) et de reprendre notre leadership.
C’est chérir nos histoires, les partager, et ainsi propager l’amour et la fierté d’Être soi

Cette expérience est conçue pour la femme qui :

  • S’identifie comme une perconne (femme) noire
  • Veut écrire et raconter son histoire (aucune expérience préalable requise)
  • Désir être en communauté avec des personnes (femmes sœurs) qui la soutiennent
  • Cherche à se connecter avec plus de personnes et à partager son histoire dans un environnement sûre et favorable (espace sacré)
  • Veut faire quelque chose qui la défie et l’invite à élargir sa zone de confort dans un espace stimulant, bienveillant et solidaire
  • Veut Explorer, honorer et célébrer sa vérité en choisissant d’AIMER, ÊTRE VU et ÉCOUTER

Premier temps :
Un atelier d’écriture qui enseigne les fondements de la narration vulnérable et authentique, en tant qu’outil de guérison et d’autonomisation.
Chaque spirale, ou attributs (ancestralité, lignée, corps, sexualité, joie, émotion, parole, spiritualité…) aide à identifier, rédiger et éditer son récit personnel.
Écrire sur sa vision, ses rêves, les désirs chers a son cœur

Deuxième temps :
Se déclamer, à la manière ancestrale. Devant une communauté
Se dire, se raconter est un puissant moyen de résistance, d’autonomisation et de guérison.

*Il y a une différence entre dire la vérité et raconter des traumatismes